Chapter 26
Chapter 26
Chapitre 26 Lorraine hurlait de peur, les yeux fermés, prêtait à recevoir la gifle, mais elle s’est rendu compte que rien ne s’est passé. Une fois les yeux ouverts, elle était sidérée par cette scène ! C’était Clément Huet, son gendre, qui l’a empêché ! Elle n’a pas réagi, comment Clément, un incompétent, pouvait-il avoir autant de culot? Clovis ne s’attendait pas à ce que quelqu’un défende cette dame salope, et il a sèchement demandé : – Qui es-tu ? Tu es fatigué de vivre ? – Vous êtes bien Maître Clovis ? Vous pouvez gifler cette racaille autant de fois que tu veux, mais pas ma belle-mère ! Tu le fais pour moi, d’accord ? a répondu Clément avec indifférence. La mine de Clovis s’est rembrunie, il a dit avec un air méprisant, furieux : – Cette dame est ta belle-mère ? Alors pour qui tu te prends ? Pourquoi je dois faire ce que tu veux ? On était respectueux devant lui à Cité J, mais aujourd’hui, il s’est fait injurier : Léo l’avait insulté avec cette vieille dame, maintenant, un autre homme a surgi et lui a dit quoi faire. S’imaginait-il que lui, Clovis Courtet, était juste un bon-a-rien? En pensant à cela, il était hors de lui et a crié à ses gardes du corps : – Tuez ce connard ! En entendant cela, Clément a annoncé avec un léger sourire : – Ne soyez pas pressé, je passe un coup de fil.
Sur ce, il a sorti son téléphone portable et a appelé au Edmond, le directeur de l’hôtel Buckingham. Une fois répondu au téléphone, ce dernier a dit de façon respectueuse : – Maître Huet, quels sont vos ordres ? – Un mec s’appelle Clovis Courtet, tu le connais ? a demandé Clément. – Maître Huet, je connais celui dont vous parlez, on dit qu’il est l’empereur des commerces clandestins de Cité J, mais en fait, ce n’est qu’un sale voyou! a répondu immédiatement Edmond, Apprenant que je suis un membre des Huet, il ne cessait pas de me flattait, il m’a même invité plusieurs fois de dîner avec
lui, mais je l’ai refusé. Maître Huet, vous le connaissez ?? – Il veut me tuer maintenant, a annoncé Clément d’un air froid, De l’autre côté du téléphone, Edmond est sorti des gonds : – Bon sang, est-ce que Clovis, ce voyou, ne veut plus vivre ? Il ose vous provoquer ! Où êtes-vous maintenant ? Je vous rejoins tout de suite avec des gardes du corps et je lui donne un peu de leçon ! – Je te passe de lui parler, a dit Clément. Après avoir dit cela, il a ensuite tendu le téléphone à Clovis et a dit : – Il faut que vous répondiez au téléphone. Clovis l’a regardé avec stupéfaction. Il s’est demandé que ce qui s’est passé, ce type n’avait pas l’air de jouer la comédie. Avait-il vraiment des arrières solides? Il n’en avait pas l’air non plus, ce qu’il portait, ce n’était pas de la marque, même son téléphone ne coûtait que moins de cinq cents euros, quelles compétences pouvait-il avoir ? De quoi pourrait-il être capable ? Qui pourrait-il trouver pour le soutenir ? Il lui a lancé un regard dédaigneux, mais il a quand même pris le téléphone et a demandé : – Alló, c’est Clovis, qui es-tu ? Tu veux défendre ce salopard ? Au téléphone, Edmond a juré par-dessus sa tête, – Clovis ! Tu ne veux plus vivre ? Tu oses même te prendre à notre jeune maître ? Tu veux que j’enterre ta famille de vingt-cinq personnes ce soir ? Clovis a reconnu la voix, c’était Edmond Quint qu’il voulait flatter. Il lui a dit qu’il avait provoqué le jeune maître de sa famille ? Ça pourrait être ce mec devant lui ? De plus, il a annoncé qu’il y avait vingt-cinq personnes dans sa famille, se pourrait-il qu’ll l’ait enquêté ? Il étali le représentant des Huet à Chte J! Cette famille etalt si puissante que s’ils voulaient le tuer, c’était aussi simple que de tuer une taupe ! A ces pensées, il s’est empressé de le supplier : – M. Edmond, ne vous fachez pas, j’ai juste fait un peth malentendu, je suis avec le jeune maitre … Ferme-talace Edmond, son identité est confidentielle, si tu le fais savoir aux autres, je n’épargneral pas toute ta famille ! A $es puoles, il a supplié en prenant de vlolet tremblement, affole :
-C’est de ma faute, M. Edmond, je suis vraiment désolé ! Je vais bien m’occuper de cette affaire… Ce M. Edmond suffisait à le fait flatter à genoux, sans parler des Huet, la famille la plus puissante, qu’il devait admirer toute sa vie… Mais après avoir offensé le jeune maître des Huet, y survivrait-il ? En pensant à cela, Clovis a posé le regard sur Clément, il s’est excusé d’un ton angoissé, ne sentait soudain pas ses jambes et s’est agenouillé devant lui : – M. Clément, je suis désolé, je ne savais pas qu’elle était votre belle-mère, j’étais confus, je m’excuse auprès de vous ! Je vous demande pardon! Toutes les personnes présentes étaient pétrifiées, regardant le Clovis s’agenouiller et s’excuser auprès de Clément, un voyou? Même Remy a changé son attitude pour Clovis, ce jeune homme pouvait le faire s’agenouiller, qui était-il exactement ?! Ses gardes du corps costauds étaient tous pétrifiés ! Clovis était le plus fort dans les commerces clandestins de la Cité J! Qui pouvait lui faire s’agenouiller ?! Clément ne voulait pas le tuer, après tout, c’était sa belle-mère que ses hommes ont giflée, pas lui-même. En fait, ça lui fasait du bien de donner des leçons à sa belle-mère ! Il a donc dit à Clovis : – Je peux vous pardonner cette fois-ci, mais l’argent avec lequel vous avez arnaqué ma belle-mère, vous devez le rendre avec des intérêts ! À ces paroles, Clovis, soulagé, ne s’attendait pas à ce que le Maître Huet lui pardonne, il s’est incliné, et a dit précipitamment : – Ne vous inquiétez pas, je m’en occupe ! Après avoir dit cela, il a immédiatement crié à Remy : – Traite tout de suite cette affaire ! Sinon, je te casse les jambes ! Lorraine n’en croyait pas ses oreilles, était-ce encore son gendre, un abruti. ? Même le célèbre Clovis a dû s’agenouiller devant lui? Elle s’est aperçue que Clément était fort et encore plus mystérieux. Léo, qui avait reçu plusieurs claques, était également ébloui, ce Clément n’était-il pas un incompétent ? Comment se faisait-il que même Clovis doive le respecter ? À ce moment-là, Remy, tout pâle, une valise noire à la main, s’est dirigé vers Lorrain, et lui a dit d’un ton effrayé :
– Madame, c’est votre principal: cent mille trente euros, et le dividende est de vingt mille, un total est de cent mille cinquante euros, voici deux cent mille, ce cinquante mille, c’est pour exprimer notre excuse, veuillez l’accepter, s’il vous plaît … Lorraine restait bouche bée. Depuis quand son gendre, un bon-á-rien, était si capable ? Le principal a été remboursé, les dividendes promis aussi, et ils ont même lui donné cinquante mille euros supplémentaires ?Content protected by Nôv/el(D)rama.Org.